Festival des Musiques Insolentes
Octobre 2009
Bruits, instruments illégitimes, clignotements de diodes, trilles dodues, échanges numériques, glissandos d’opérette, ornements spatialisés, tous éléments de composition dotés d’une valeur et d’une dignité égale – improvisation libre, électronique subtile, mécaniques incertaines, installations théâtralisées, enfouies musiques d’ivrogne, toutes participent d’un besoin de découverte et de contact sans cesse renouvelé avec le monde.
Fini le temps du trompe l’œil, voici venu celui du trompe l’oreille… il s’agit là de musique insolente, c’est-à-dire selon l’étymologie latine: inhabituelle. - Claudie Lenzi